Switzerland
1.
L'urgence pour la communauté internationale est de mettre en place un partenariat mondial. Un partenariat mondial qui vise à enrayer et à prévenir la désertification et la dégradation des terres. Ce partenariat concerne également l?atténuation des effets de la sécheresse dans les zones touchées afin de concourir à la réduction de la pauvreté et à une sauvegarde de conditions environnementales propices à la vie des populations.
2.
Pour cela il y a deux choses qui sont importantes : Premièrement, il est important d'activer un plaidoyer qui permette d'influer activement sur les mécanismes et les acteurs internationaux, nationaux et locaux compétents.
3.
Un plaidoyer qui informe les principaux groupes d?intérêts politiques et économiques des problèmes de la désertification des terres et de la sécheresse ainsi que des pertes économiques qu'ils entraînent et des coûts de restauration.
4.
Un plaidoyer qui aborde les problèmes de la désertification/dégradation des terres et de la sécheresse. Ce débat doit avoir lieu dans les enceintes internationales pertinentes, notamment celles où sont traitées les questions concernant le commerce agricole, l?adaptation aux changements climatiques, la préservation de la biodiversité et l?utilisation durable des ressources naturelles. Mais également celles qui traitent le développement rural et l?établissement des politiques qui lui
sont nécessaires. Celles-ci devant être orientées par le développement durable et la lutte contre la pauvreté.
5.
Un plaidoyer pour que les organisations de la société civile et la communauté scientifique du Nord comme celle du Sud soient de plus en plus largement associées à la prise des décisions. Leur implication et initiatives en matière de sensibilisation et d?éducation, mais aussi sur le plan des diagnostics devraient être soutenues.
6.
La deuxième chose qui est importante est urgente est d'obtenir un cadre d'action propice pour combattre la désertification et la dégradation des terres et atténuer les effets de la sécheresse. Les trois fronts suivants entrent en ligne de compte :
7.
Evaluer et puis supprimer les facteurs politiques, institutionnels, financiers et socioéconomiques conduisant à la désertification et à la dégradation des terres et les obstacles à la gestion durable des terres.
8.
Intégrer les Plans d?Action élaborés dans le cadre de la mise en oeuvre de la UNCCD et les questions liées à la gestion durable des terres et à la dégradation des sols dans le plan de développement des pays touchés ainsi que dans leurs plans et politiques sectoriels et d'investissement pertinents.
9.
Et finalement : créer une synergie entre les programmes d'action contre la désertification et la dégradation des terres et les initiatives en faveur de la préservation de la biodiversité, de l'adaptation aux changements climatiques.
L'urgence pour la communauté internationale est de mettre en place un partenariat mondial. Un partenariat mondial qui vise à enrayer et à prévenir la désertification et la dégradation des terres. Ce partenariat concerne également l?atténuation des effets de la sécheresse dans les zones touchées afin de concourir à la réduction de la pauvreté et à une sauvegarde de conditions environnementales propices à la vie des populations.
2.
Pour cela il y a deux choses qui sont importantes : Premièrement, il est important d'activer un plaidoyer qui permette d'influer activement sur les mécanismes et les acteurs internationaux, nationaux et locaux compétents.
3.
Un plaidoyer qui informe les principaux groupes d?intérêts politiques et économiques des problèmes de la désertification des terres et de la sécheresse ainsi que des pertes économiques qu'ils entraînent et des coûts de restauration.
4.
Un plaidoyer qui aborde les problèmes de la désertification/dégradation des terres et de la sécheresse. Ce débat doit avoir lieu dans les enceintes internationales pertinentes, notamment celles où sont traitées les questions concernant le commerce agricole, l?adaptation aux changements climatiques, la préservation de la biodiversité et l?utilisation durable des ressources naturelles. Mais également celles qui traitent le développement rural et l?établissement des politiques qui lui
sont nécessaires. Celles-ci devant être orientées par le développement durable et la lutte contre la pauvreté.
5.
Un plaidoyer pour que les organisations de la société civile et la communauté scientifique du Nord comme celle du Sud soient de plus en plus largement associées à la prise des décisions. Leur implication et initiatives en matière de sensibilisation et d?éducation, mais aussi sur le plan des diagnostics devraient être soutenues.
6.
La deuxième chose qui est importante est urgente est d'obtenir un cadre d'action propice pour combattre la désertification et la dégradation des terres et atténuer les effets de la sécheresse. Les trois fronts suivants entrent en ligne de compte :
7.
Evaluer et puis supprimer les facteurs politiques, institutionnels, financiers et socioéconomiques conduisant à la désertification et à la dégradation des terres et les obstacles à la gestion durable des terres.
8.
Intégrer les Plans d?Action élaborés dans le cadre de la mise en oeuvre de la UNCCD et les questions liées à la gestion durable des terres et à la dégradation des sols dans le plan de développement des pays touchés ainsi que dans leurs plans et politiques sectoriels et d'investissement pertinents.
9.
Et finalement : créer une synergie entre les programmes d'action contre la désertification et la dégradation des terres et les initiatives en faveur de la préservation de la biodiversité, de l'adaptation aux changements climatiques.
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